février 2018
février 2018
La rue Jean Mermoz c’est le bas des Champs Elysées, là où le 8e reprend un peu de chic parisien.
Le Mermoz, fidèle à ses modèles “bistronomiques” du 10ème, a fait dans la déco simple, claire et un brin vintage. On peut déjeuner ou boire un verre au comptoir.
La salle est petite et chaleureuse, la lumière agréable, le service détendu.
Au déjeuner, la carte qui change tous les jours, propose trois entrées, trois plats et deux desserts et on est déjà très content de devoir choisir entre poulet jaune des Landes et merlan de ligne (pas de chorizo andalou à l’eau de tomate ni de tartare de pigeon au yuzu…).
En entrée, on s’est régalé d’une nage de coques à la coriandre, parfaitement citronnées et d’un poireau rôti, jaune d’oeuf confit délicieux.
Merlan et poulet ont suivi ; assiettes généreuses qui ne se perdent pas en goûts inutiles et qui s’agrémentent de légumes rôtis et d’herbes sauvages.
La salade d’oranges, dattes et crémeux au thé Earl Grey a été engloutie tellement vite que nous n’avons même pas eu le temps de prendre une photo.
Le soir, on retrouve les plats du midi et d’autres encore, en portions plus petites à partager, l’idée étant de proposer une ambiance bar à vins avec réservations bien sur, mais aussi porte ouverte “tiens, ça à l’air sympa, viens on va prendre un verre et manger un petit truc”.
Aux fourneaux – et n’y voyez aucun discours sexiste – la jeune, jolie et talentueuse Manon Fleury, passée par l’Astrance et Semilla secondée de Johan Barichasse, ancien de Mokonuts.
En salle – et n’y voyez aucun discours sexiste – les super sympathiques Nicolas et Charles.
Bravo les amis, on vous soutient pour l’ouverture d’un deuxième opus.
Radioeat, Le Mermoz, 116, Comice et bientôt le Zebra du tandem Roco, Roca, Daroco, 10e, 11e, 9e, z’avez qu’à bien vous tenir.